installation de Nana Kirumi

Nana avait fini par trouvé où était les dortoirs elle entra dans une chambre et voyant qu'il n'y avait personne décida de s'installer sur le lit le plus proche car elle était épuisée par ce long voyage et souhaitait pouvoir ce reposer. Avant cela elle devait défaire sa valise et faire son lit.
Après avoir fini de vider sa valise et d'avoir installer son coin de chambre comme elle le voulait Nana s'allongea sur son lit avec son MP3 sur les oreilles et comme à son habitude s'endormit avec.

EDIT : Je le fait cette fois mais si tu veux rajouter quelque chose Edit c´est mieu et plus agréable que le double post (et comme ca ton post est plus long....)

Meiza était entrée dans la chambre pour y ranger ses achats, mais elle fut assez surprise d'y trouver une jeune femme endormie, le baladeur sur les oreilles. Il semblait allumé, mais la musqiue n'était pas assez forte pour qu'elle puisse deviner de quoi il s'agissait. Rock ? Rap ? Peut-être que celà allait décider du destin de la jeune femme x)... En tout cas celui qui avait rapport à l'albinos. Elle commença à ranger tranquillement ses vêtements, puis elle sortit un bouquin que le libraire avait bien voulu lui prêter alors qu'il était déjà fermé. Elle avait d'abord pensé que c'était une marque de gentillesse, mais quand elle lut les premières lignes elle comprit que celà relevait de la cruauté pure et simple. Et pour la première fois de sa vie, elle s'endormit en lisant un livre, plongeant le visage sur les aventures de Jean Valjean (qui devenait finalement maire) et de l'aubergiste Labarre.

Nana se réveilla et fit tomber son mp3, elle poussa un juron.

"Me..."

Elle se retourna et vit sur le lit à côté du sien des affaires, elle se leva sans faire de bruit mais refit tomber son mp3

*Je suis trop maladroite x)*

Nana vit une jeune fille probablement albinos que s'était endormit et malencontreseument (scuse je sais pas comment sa s'écrit^^)
son sac sur la jeune fille...

Dans un réflexe procuré par l'habitude, Meriza leva son bras dans son demi-sommeil et attrapa le sac avant qu'il ne la touche. Entre-temps, elle s'était déjà réveillée et elle se sentait un peu gênée de s'être endormie (en lisant un livre, enfin !!). Elle adresse un regard à la jeune femme qui était debout à côté d'elle et lui sourit.

- Je suppose que tu n'as pas voulu m'agresser en me lachant ton sac dessus...

L'albinos étira son long corps fin comme une liane.

- Au fait, moi c'est Meriza...

"Moi c'est Nana Kirumi, excuse moi pur le sac, je suis trop maladroite, je ne voulais pas te réveiller..."

Nana rougit...

"Sinon, sa fait longtemps que tu es là? Moi je viens d'arriver, et je suis un peu perdu..."

Nana s'assit sur son lit et se mit en face de la jeune fille.

- T'inquiètes, je vais pas t'en vouloir pour ça ! Des personnes sont maladroites, d'autres non, et puis fini !

Elle s'assit à son tour et jeta un coup d'oeil sur la couverture de son livre.

- Victor Hugo... Les Misérables... Ca, c'est la genre de truc que tu fais lire à tes ennemis si tu veux les tuer dans leur sommeil ! Un vrai somnifère...

Elle secoua sa chevelure blanche.

- Je ne sais pas si on peut parler de longtemps... Peut-être un mois... En tout cas, je connaitrais moitiè moins de monde et de plan du pensionnat si je n'étais pas prof... Et il m'arrive encore de me perdre...

"Ah tu es prof , tu enseigne quoi? moi je suis élève..."

Nana regarda le sol sa vision se troubla elle eu un vertige, et une voix...

"Sa doit aider pour apprendre a connaitre les lieux en tout cas moi j'en ai fait le tour mais maladroite comme je suis..."

Nana sourit

"Sa te dérange si je m'allonge?^^"

- Prof de combat... Tu es en quelle année ?

Meriza fit craquer ses doigts (une vieille et mauvaise habitude) et s'étira à nouveau.

- Pourquoi ça me dérangerait que tu veuilles t'allonger ? Y a un décret qui interdit aux élèves de s'allonger ? Ou un qui dit que les élèves doivent en présence de leurs professeurs leur demander la permission de tout faire ?

Elle se rendit compte qu'elle était parfaitement ridicule de dire celà. C'était tout, sauf drôle.

"Oh là non, mais je te demande sa par politesse, je suis en premièere année..."

Nana s'était allongée pendant qu'elle répondait à Meriza...

"Tu enseigne le combat depuis longtemps ou seulement depuis que tu es ici?"

Meriza ne répondit pas tout de suite. La réponse était claire et simple, mais pourtant la dire lui faisait mal au coeur.

- Je n'avais jamais enseigné dans un établissement avant.

Elle avait dit la verité tout en se laissant une échappatoire.

"Ah... Tu faisais quoi avant?"

Nana pensa subitement qu'elle ne demandais trop à Meriza qu'elle venait tous juste de rencontré.

"Euh... si tu veux pas en parler je comprendrais... je suis vraiment pas très douée."

Nana se releva lentement? elle devait très pâle car ne se sentait pas mieux...

Meriza éclata de rire en secouant la tête.

- C'est qu'elle est curieuse la miss !

Puis en jetant un oeil à la jeune femme elle murmura :

- Curieuse... et mal en point.

Elle força Nana à s'allonger sur le lit et lui posa le dos de la main sur le front.

- Bon... pas forcément mmalade mais toute blanche. Reste allongée, tu n'as pas de fièvre mais ça pourrait dégénérer...

"Non ne t'inquiète pas c'est habituel, sa va passer ...du moins je l'espère..."

Nana sourit en mettant sa main sur son front:

*Vous me faites chiez... ce serait pas mal si vous alliez vous adressez ailleurs...*

Une larme pointa au bord des yeux à Nana...

- Toi aussi tu te sens mal, comme ça, de temps en temps ? Moi, c'est des douleurs cardiaques... J'suis une tite vieille... Et toi, c'est quoi ? Si c'ets pas impoli...

Meriza resta quelques secondes à regarder dans le vide, puis elle secoua la tête.

- Avant, je vivais dans une bande de mercenaires. Parfois, on attaquait un village et on enlevait quelques gosses à l'avenir prometteur pour leur apprendre le combat et pour qu'ils nous rejoignent. J'étais le chef de ces hommes et c'est moi qui leur apprenait à se battre. Ca fait donc environ troiis ans que j'enseigne le combat, et environ un mois à le faire dans un école.

Ses paroles avaient coulé de sa bouche sans qu'elle puisse les retenir. D'ailleurs, celà lui importait peu. Elle ne savait pas pourquoi, mais soudain elle n'avait plus honte de son passé. Elle se leva et s'accouda à la fenêtre ouverte, suivant du regard un vol d'oies.

"Oui, moi c'est la tête tu pourrais que je suis folle mais j'ai un pouvoir spéciale c'est à cause de sa que je suis très mal par moment..."

Nana essuya sa larme et dit à Meriza:

"Sa ne devait être facile tous les jours?Non?"

Meriza étouffa un rire.

- Pas facile ? Si t'es la seule femme du groupe, oui c'est pas facile !! Avec des brutes pareilles, il faut toujours avoir sur toi une vingtaine d'armes, même quand tu te laves ou quand tu dors D'ailleurs, surtout quand tu te laves et dors. Ces salauds te violeraient dès qu'ils en auraient l'occasion. En plus, dis-toit que je les dirigeaient, et être dirigés pas une femme, ils n'appréciaient pas, mais alors pas du tout. Même si j'avais gagné le commandement à la loyale, au corps à corps sans armes, et que le précédent chef m'avait désignée comme successeur... Crois-moi, c'était tout, sauf facile.

La jeune albinos regarda par la fenêtre, s'accordant trente secondes de souvenirs. Puis elle se tourna vers sa compagne de chambre.

- Je maîtrise l'air, et je suppose que toi aussi sinon tu ne serais pas dans cette chambre. Mon second pouvoir, c'est de parler aux animaux et de pouvoir prendre leur apparence. Et toi... ?

" Moi c'est de pouvoir parler au mort mais bon sa me mets toujours dans un sale état, je ne le controle pas..."

Nana sentit son mal de tête grandir, ils allaient l'obliger à entrer en transe... Elle ne voulait pas, la tête lui tourna à nouveau, elle était à présent livide...

Meriza regardait la jeune femme perdre ses couleurs en se demandant quelques instants ce qu'elle devait faire. Puis elle se dit qu'il ne pouvait être que mauvais de sortir quelqu'un de se transe et elle la laissa en paix, restan,t malgré otut auprès d'elle pour la secourir en cas de danger. Elle était prof, tout de même, hein !

Nana vit que meriza avait un air inquiet et dit :
"T'inquiète pas sa m'arrive souvent..."

Elle s'assit, puis ce sentit tomber, elle entendait les voix plus forte que jamais, elle leur parlait mais ne se rendait pas compte que pour la première fois elle parlait à voix haute.

"Partez par pitié... j'ai si mal... pourquoi moi... qu'est-ce que vous me voulez..."

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